mardi 30 novembre 2010

Cur Deus homo


Duplice creazione ,duplice scopo dell'incarnazione.Maria Immacolata e Maria Maddalena,Nuovi cieli e nuova terra.

Il Signore ha mostrato la distinzione finale tra nuovi cieli ,santi ed angeli fedeli,e nuova terra uscita dalle pene infernali distruttive del peccato per i dannati per il peccato contro lo Spirito santo
.Questa distinzione nel termine della redenzione risolve un contrasto tra San Tommaso d'Aquino e il beato Duns Scoto.
San Tommaso accentua nell'incarnazione la necessità della distruzione del peccato introdotto dal libero arbitrio nella prima creazione fatta senza il consenso della creature ragionevoli.
Duns Scoto accentua il fine della divinizzazione dell'uomo in Cristo, ricezione dello Spirito santo che è solo nella libertà del consenso
 
Peppino Orlando

samedi 27 novembre 2010

Dieu, un dictateur converti à la démocratie ?


NOMO, J., L., Dieu, un dictateur converti à la démocratie ?, L’Harmattan, Chrétiens autrement, Paris, 2006.
Enfin un ouvrage  sur Dieu vu à travers le prisme de la modernité ! Il est difficile d’en faire un résumé complet, mais soulignons tout de suite que l’auteur, ingénieur commercial, ancien petit séminariste, a tenté d’associé l’étude de Dieu avec le Progrès.
A l’époque de la conscience individuelle, se pourrait-il que Dieu soit encore cette divinité terrible qui pourchasse Dagon et écrase de son ire les incroyants ?  Le fond du problème pour monsieur Nomo est le semblant d’opposition entre le dieu vétérotestamentaire et celui du Nouveau Testament. Yahvé serait un Dieu brutal, vengeur, presque misanthrope, donc un tyran, alors que le Christ aurait présenté un dieu aimant, capable de comprendre l’Homme et prêt à supporter le refus de son obéissance, donc un démocrate. 
Ce travail est révélateur de la pensée de nombreux catholiques d’aujourd’hui qui tentent, seuls, de comprendre la complexité des textes bibliques avec les outils qui leurs sont donnés. Il n’est donc pas étonnant que toute l’étude de monsieur Nomo soit tournée afin de démontrer la conversion de Dieu au Progrès, qui serait une valeur suprême…
Pourtant, ne pensons pas que Dieu abandonnerait Ses créatures, comme un bon démocrate, Ses Lois sont bonnes pour la société humaine et doivent être respectées. A une époque brutale succède une époque de compréhension.
Dans le Décalogue, la loi du Talion est proclamée alors que dans l’Evangile selon Saint Jean, le Christ sauve une femme adultère en rappelant que tous ont déjà pêché et qu’ils ont la possibilité de se racheter. Le délinquant, une fois sa peine purgée, est apte à être réintégré dans la Cité.
Le pêcheur est alors un hors-la-loi promis à la Géhenne/prison. De fait l’enfer, serait la fin promise à ceux qui font le choix de ne pas reconnaître Dieu. De fait le Démon serait alors son collègue, ou au moins son homologue avec qui il partagerait les âmes…A un Dieu destructeur et apporteur de Déluge succéderait un Dieu conciliant et capable d’accepter le fait que ces créatures puissent lui tourner le dos.
L’auteur va même plus loin et se demande si Satan ne serait pas un autre nom de Dieu sous son hypostase brutale et tyrannique. 
La principale critique que l’on pourrait reprocher à cet ouvrage est le retour de la marotte gnostique. L’auteur cite un document apologétique de la gnose produit par la loge maçonniqueFidélité et Prudence. Y est affirmé la possibilité de comprendre Dieu en dehors des Ecrits Saints. Dieu serait abordable directement par la science. Il n’est donc pas surprenant que l’auteur se sente mal à l’aise avec l’apparente contradiction des textes bibliques. Il essaye d’ailleurs d’opposer Moïse au Christ, comme il oppose le Dieu mauvais vétérotestamentaire au dieu bon du Nouveau Testament. L’auteur liquide la question eschatologique de l’Apocalypse qui est justement la reprise en main de l’Univers par Dieu et la destruction du Mal, ou encore la Bonté de la Création…
Cette obsession scientifique se retrouve également avec la conception du Christ. Comment se pourrait-il que la Vierge tomba enceinte d’un enfant de chair sans apport de chair. Dieu se serait alors matérialisé et aurait couché avec la Vierge pour donner naissance au Christ…
Je laisse au lecteur la possibilité de se faire un avis. L’auteur en tentant de s’opposer aufondamentalisme ne tombe t’il pas dans le piège de l’incompréhension de la notion du Mystère ? J’aimerai connaître son avis sur la transsubstantiation
Nicolas Lennart

lundi 22 novembre 2010

une introduction à la métaphysique de Claude Tresmontant


TourenneLa métaphysique est morte ! Tel est l’avis que la philosophie nous a légué après Kant… Peut-être, mais encore faudrait-il nous en assurer ; d’autant plus que les philosophes contemporains les plus influents affichent pour la plupart un athéisme joyeux et insouciant. C’est bien leur droit, mais il y a là un paradoxe que nous refusons de cautionner sans le discuter. Il faut choisir ou bien la métaphysique est morte et il n’y a plus rien à dire sur ce qui échappe à notre expérience sensible, ou bien l’athéisme est vrai et la métaphysique bien vivante ! 
Mais si nous choisissons la première option, nous pouvons nous interroger sur sa légitimité : les sciences de la nature, dont on nous dit qu’elles ont avantageusement remplacé la métaphysique, nous décrivent-elles réellement un univers se suffisant à lui même ? Ne nous remettent-elles pas plutôt face aux questions essentielles qui, sans mépriser les méditations sur l’actualité et Sartre, touchent le sens du monde ?
Si l’athéisme est la position que nous devrions tous adopter, il nous faut encore la vérifier, et que nous soit expliquée la cosmogénèse à partir d’un chaos primitif dont le hasard seul serait l’architecte… nous osons en douter !
Claude Tresmontant écrivit une œuvre annonçant la renaissance de la pensée métaphysique :une pensée puissante et humble, qui sans bruit, sans tapage s’est donnée pour tâche de penser le monde et l’homme en s’appuyant sur le réel objectif décrit par les sciences modernes. Aucun système dans la quarantaine de volumes publiés, mais un apport majeur à l’histoire du rationalisme intégral. C’est cette œuvre métaphysique que nous présente aujourd’hui l’un de ses élèves, Yves Tourenne.
Cet ouvrage limpide et efficace, nous invite, nous qui vivons en ces temps extraordinaires où la connaissance du monde se fait de plus en plus précise, à reconsidérer sérieusement LA QUESTION métaphysique en nous introduisant dans l’une des œuvres les plus importantes de notre temps. 

jeudi 18 novembre 2010

A propos du caractère surnaturel de certains éléments naturels


2. L'eau
L'eau est une réalité familière comme l'est la lumière, et nous oublions que donner de l'eau à quelqu'un fait partie d'une des sept œuvres de miséricorde corporelle dont il est bon de rappeler ici toute l'importance en citant les deux premières : Donner à manger à ceux qui ont faim et donner à boire à ceux qui ont soif.
En demandant de l'eau à la Samaritaine, Jésus lui a donné, au moment même où il a eu soif, l'occasion d'accomplir une œuvre de miséricorde corporelle. « Quiconque donnera à boire à l'un de ces petits rien qu'un verre d'eau fraîche, en tant qu'il est un disciple, en vérité je vous le dis, il ne sera pas frustré de sa récompense » Mt 10 42.
Le puits de Jacob a vu un grand nombre de personnes et d'animaux venir pour recueillir très précieusement cette eau sans laquelle nous ne pouvons pas vivre et Jésus, dans ce contexte de la vie de tous les jours nous fait découvrir une eau avec laquelle nous n'aurons jamais plus soif. Cette eau vive vient de son cœur : « l'un des soldats, de sa lance, lui perça le côté et aussitôt il sortit du sang et de l'eau » Jean 19 34
Cette eau prend sa véritable source en Jésus car il nous révèle qu'il est « le Chemin la Vérité et la Vie » Jean 14. La vie est étroitement liée à l'eau, et nous savons le geste important que Mère Térésa, proclamée sainte, a accompli en donnant à boire et à manger à ceux qui n'avaient plus la force de le faire.
Les blessés de la vie, les malades vont chercher à Lourdes cette eau que la Vierge Marie a fait jaillir du rocher pour étancher notre soif de Dieu, et nous apaiser.
Revenons au puits de Jacob pour trouver une solution à la soif de l'homme qui s'exprime dans la vie que nous avons reçue à notre baptême. Il s'agit d'une eau qui nous a fait sortir librement de la servitude, et nous incorpore dans l'Eglise par la libre adhésion de notre volonté.
La Samaritaine est bouleversée par ce qu'elle vient d'entendre au point qu'elle va rejoindre les siens pour leur apprendre la bonne nouvelle. Bien que cette eau si rare dans certains pays se trouve en abondance dans nos régions, il arrive qu'on oublie qu'elle puisse donner la vie, comme le témoigne l'Eglise en baptisant les nouveaux nés.
Les parents de ces enfants n'ont pas encore compris le don de Dieu qui se manifeste par cette eau qui les fera devenir enfants de Dieu.
Le puits qui porte le nom de Jacob est lié à la mémoire de Rachel qui était stérile et de son fils premier né Joseph que ses frères criminels avaient jeté dans « une citerne à sec. Cette citerne est devenue un puits fécond. Cependant des obstacles demeuraient encore puisque les Samaritains étaient honnis des juifs.
Un sacrement qui puise ses richesses dans l'eau qui est sortie de la plaie du Christ en Croix pour nous sauver du déluge, de la violence et du péché, est une urgence dont nous devons prendre conscience.
D'autre part, cette eau baptismale a engagé des millions de familles dans la foi, en développant les racines qui nous font grandir et fortifient en nous : l'espérance et la charité, sans lesquelles nous restons stériles. Il est temps de nous ouvrir à la grâce du baptême.
Avec Jésus, nous ne pouvons plus regarder l'eau de la même manière. Et, nous pouvons chanter avec toute l'Eglise « Anima Christi » : aqua lateris Christi, lava me : eau du côté du Christ, lave moi.
Dans le livre de la Genèse 6 16 nous pouvons méditer le passage suivant « tu placeras l'entrée del'arche sur le côté ».Il s'agit bien d'un côté où se trouve une porte unique par où nous pouvons nous réfugier pour être sauvé.
Que faisons-nous de la lumière et de l'eau qui sont des forces extraordinaires créées par Dieu ? Des forces qui manifestent la puissance de Dieu pour le bien des hommes mais qui ne sont pas toujours bien utilisées ? Le Christ ne nous donne-t-il pas le vrai sens de l'eau et de la lumière en nous indiquant la vraie richesse salvatrice ?

Christian Bac

lundi 1 novembre 2010

Una lettura ortodossa della lezione del Concilio vaticano II ,nel corso della Disputatio sulle antinomie del pensiero-prassi postconciliare


Concetti da chiarireAddolorata
1.La chiesa una e santa ,sposa di Cristo e corpo mistico "sussiste" (subsistit) nella chiesa cattolica romana: significa che vi è un resto fedele nel quadro di crescente secolrizzazione apostasia in capite et membris.
2.Il sacrificio della messa è nell'ordine soprannaturale della "transustanziazione",reale presenza di Cristo nel suo popolo sacerdotale , profetico e regale,corpo mistico,in Spirito santo, non nel puro simbolismo mnemonico o in magie rituali.
Una perdurante prevaricazione del clero .deprime,deruba e nega i titoli regali del sacerdozio comune svilendo e profanando ,i ministeri fraterni nel popolo di Dio che è il resto fedele che SUSSISTE nella chiesa cattolica romana.
NB. E' ancora il concetto di sostanza a distinguere natura e grazia.L'ignoranza della lezione realistica tomasiana nella teologia conciliare ed attuale ha condotto il pensiero teologico fuori della realtà.
3.Distinzione chiara( unificata-senza confusione- nella divinita e umanità di Cristo comunicata al suo mistico corpo) tra natura e grazia,prima e seconda creazione,Antico e nuovo patto,sacerdozio levitico e sacerdozio in Cristo di ogni fedele,purgatorio e inferno,Dio e satana creatura ribelle nel tempo ma sconfitta in eterno.
4.Ottimismo giusto( ma reso fatuo dalla pastorale apostatica della prostituta dominante nel dialogo sincretistico) .
Unico ottimismo valido sta nella speranza soprannaturale certissima,della risurrezione vittoriosa di Cristo e del suo mistico corpo come Maria assunta in cielo.
Essa-risurrezione dei primogeniti- avviene di generazione in generazione sul male in croce e purgatorio per il nuovo Cielo.
L'empietà contro lo Spirito viene ,di generazione in generazione,espiata all'inferno per una pura risurrezione di condanna in nuova terra di giustizia.
ETERNO E' IL NOSTRO RE E IL SUO REGNO,L'UNICO ETERNO
Il nulla sta solo nel pensiero ,nel senso che è solo pensabile come negazione,corretta dalla realtà nella logica del giudizio divino-
Le pene del senso sono misurate in giustizia
La pena del danno sta nella privazione volontaria dell'accoglimento della Informazione divina in Cristo, nella sua correzione a misura Sua perfetta umanità, in nuova terra,di generazione in generazione.
Peppino Orlando

La religion communiste


Les disciples des grands révolutionnaires du XXe siècle interrogés par Thierry Ardisson.
Pour les conséquences que l'on peut en déduire, nous laissons à chacun le droit de méditer.